CONTRÔLES CONSTANTS
Maintenir des standards de qualité élevés pour le Groupe signifie répondre pleinement aux besoins des professionnels qui font de notre produit un outil fondamental pour leur travail. C’est pourquoi, en plus de respecter les normes internationales sur nos produits, nous effectuons des contrôles constants sur l’ensemble du cycle de production.
NOTRE DÉPARTEMENT QUALITÉ
Grâce à des outils d’analyse des matières premières utilisées dans la production, notre Département Qualité, qui emploie 15 professionnels, teste toutes les matières entrantes, afin de garantir les performances maximales de nos produits et la sécurité maximale de nos utilisateurs.
NOTRE DÉPARTEMENT QUALITÉ
Grâce à des outils d’analyse des matières premières utilisées dans la production, notre Département Qualité, qui emploie 15 professionnels, teste toutes les matières entrantes, afin de garantir les performances maximales de nos produits et la sécurité maximale de nos utilisateurs.
TÜV Rheinland
Institut Italien du Label de Qualité – I Verband der Elektrotechnik Elektronik Informationstechnik – D
TÜV
Depuis 2018, Beta bénéficie de la prestigieuse homologation TÜV, obtenue en passant les contrôles stricts du protocole de test EK5/TA5.
Le protocole EK5/TA5 comprend 31 caractéristiques de construction bien définies, des tests statiques rigoureux et des tests de comportement dynamique. D’autres tests définissent la résistance aux hautes et basses températures, la durabilité des marquages dans le temps et la résistance à la corrosion.
La réalisation de ces objectifs récompense la conception experte, la fabrication précise et les contrôles rigoureux que Beta met en œuvre dans la production de ses produits marqués TUV.
Organisation pour la Sécurité des Abrasifs (OSA)
ENEC
Politique sur les “Conflict Minerals”
BM n’achète pas de minéraux directement auprès des mines et des fonderies, mais exige de ses fournisseurs qu’ils évitent l’utilisation de matériaux dits «minéraux de conflit» (tantale, étain, or, tungstène), dans le but de décourager l’utilisation dont le commerce pourrait financer ou alimenter des groupes armés venus de zones géographiques riches en ressources naturelles affectées par des conflits ou à haut risque de conflits, comme la République Démocratique du Congo et les pays voisins.